Cher lecteur,
J’aimerais me confesser à toi ce soir. Non-pas que j’ai pêché mais je dois me libérer d’un lourd fardeau que je traine en moi depuis ma tendre enfance. Je ne suis pas victime d’un membre du clergé qui aurais aimé soulager ses passions sur un enfant de chorale ou même de Frederic Mitterand. C’est bien plus grave que cela, les faits sont accablants, le regard de celles avec qui j’ai pu effectué l’acte sexuel a toujours trahit une triste réalité dont j’ai trop voulu me détourner : mon zizi est tordu. Pas une simple inclinaison représentant une fière Tour de Pise mais une verge effectuant un virage perpendiculaire à mi chemin.
Dès l’âge où j’ai pu commencer à aller à la piscine avec les autres elèves de l’école j’ai essayé de cacher autant que possible le circuit de formule 1 qui s’imprimait sur mes maillots. Quand mon pédiatre découvrit ma condition à l’âge de 8 ans il ne faisait que rire de mon état “Au moins cela lui évitera d’apporter de clubs pour jouer sur le green”,disait-t-il à mes parents. J’était envahi par la honte , je voulais partir et courir loin de ce monde injuste. A 14 ans alors qu’une fille allait me faire ma première fellation, toute excitée qu’elle était, en voyant mon organe sa gorge s’emplit d’un rire cruel que je peut encore entendre à ce jour, et elle s’enfuit pour toujours.
Je suis au bord gouffre, les filles qui me connaissent ne veulent pas coucher avec moi de peur que mon “crochet” ne leur fasse mal. J’ai demandé à un specialiste de l’anatomie masculine de résoudre mon problème mais il me demande plus de 6000 euros. Je suis allé aux putains et mêmes ces professionelles qui en voient de toutes les tailles et couleurs refusent parfois de s’approcher de mon chibre quand il entre en érection. Je penses revendre ma voiture durement gagnée pour pouvoir devenir un tant soit peu “normal”.
Je m’en remmet à toi cher lecteur.